1952 Jeudi 14 Octobre 2021
in extremis l’enquête résidence – in extremis l’impôt foncier – in extremis rien d’ao – beaucoup importe pourtant (on a sans doute affaire à quelque exo-ectoplasme) (je n’attends pas, je marche, je cherche, je vaque) (soins)
sans doute irais-je conduire A. chez elle taleur – le sommeil me fuit, je lis – le « manuel à l’usage des femmes de ménage » attendra un petit peu – penser à aller chercher la veste – une espèce de solitude, tout le monde s’en va le matin et rentre le soir, une cité dortoir – quatre quartiers forment le 19 dont Combat et Amérique – administrative découpe, on ajoutera Pont de Flandre et la Villette et ce sera complet – il y avait dans le jardin les cosmos habituels derrière lesquels s’ébattaient deux chevaux (la mère, le fils, plus grand au premier plan des acteurs animaux – encore que le fil – ce trait blanc venant de la haire de troènes – soit d’une araignée, mais elle est invisible) plus un âne (il n’est pas dix heures,mais pas si loin (9:57:29 indique la métadonnée)
la campagne ça n’est pas facile en automne (pour ma part, le froid m’atteint profondément – je suis allé voir un peu du côté de l’enfance sans doute pour cette raison) ici les lumières de Liverpool (John Atkinson Grimshaw)
on imagine le Pequod et la jambe en ivoire de cachalot d’Achab (au milieu de l’après midi, en octobre vers 1850) – on pense ce qu’on veut, on avance peut-être en crabe – lire attendre et ne pas dormir
dvd Les Princes (Tony Gatlif, 1983) (petit rôle de teigneux pour le réalisateur) (désespéré)
le 11 aussi était fait de quartiers, et l’intra-muros non moins qui est à peine plus grand. Quant au froid… et au reste
on go comme on peut
@brigitte celerier : tous les arrondissements comptent quatre quartiers (comme leur nom l’indique d’ailleurs) (c’est que j’ai fini le « Quartier de combat »)
Belle photo de brouillard (la mémoire en reflet)… 🙂
@Dominique Hasselmann : (pour ne pas oublier) merci…