1858 Mardi 13 Juillet 2021
dimanche nous quittait Philippe Aigrain et cette disparition nous touche – un ami qui s’en va, même peu connu, c’est toujours une blessure – la vie continue, certes, mais sans lui elle nous semblera moins belle – sa générosité, son amitié, sa sensibilité nous resteront quand même (bienfaiteur de l’AiR Nu, on ne peut l’oublier) – dédicace de ce petit billet (demain en maison[s]témoin j’en tente un autre mais ici l’internet défaille – un peu de malheur sous la pluie…
salut à toi, artiste et poète
on n’a plus le cœur à rien, mais on continue quand même
retrouvé cette image glanée dans une nouvelle librairie (avenue Jean-Jaurès mais dans le haut (on y a Texture, à Laumière, déjà, superbe enseigne) dans le 19)
nue (sans doute) sous sa fourrure la Deneuve entourée de 8 hystériques (comme c’est amusant) (ça en fait 9), STGME2 qui se marre, Yoko et John qui s’embrassent french kiss – enfin peuple si tu veux – tout semble inutile – ce M déjà vu (et/ou posé) ce n’est pas impossible
du temps où la ligue des transporteurs avait quelque chose comme une certaine dignité – non décidément rien ne va ces jours-ci – la pluie, peut-être, un feu dans le poêle, un jeu, un bon livre/film pour n’y plus penser – haut les cœurs ! hardi ! hardi ! chantait le poète – non mais ça va, internet comme d’habitude déconne à plein tube – OSEF complètement – enfin un peu, c’est par lui qu’arrive ce genre de nouvelle – c’est ça internet déconne. À plein tube…
Oui, je l’ai connu, Philippe Aigrain, lors de réunions remue.net (auxquelles tu n’as jamais participé). On pense à lui.
et nous allons à force de confier le sérieux de nos vies (enfin pas nous) à internet une vie avec un charmant côté insécure