B2TS Sadi-Lecointe 1
B2TS (back to the street) une série pendant le week-end (le dimanche surtout) de photos présentant des photos elles-mêmes collées sur un mur (au début, il ceignait l’hôpital Saint-Louis, rue Bichat; puis vint Léon Jouhaux, puis d’autres lieux encore (Château-Landon, rue Louis Blanc) et d’autres encore – j’ai oublié (pas le lien). Ici, dans le 19, la petite rue va de Simon Bolivar à celle de Meaux, après un léger coude.
Une école primaire qui fait un coin, cinquante mètres à tout casser (il en est une aussi à Reims dit la carte) (c’est une carte automatique et évoluée : elle dispose d’images de ce rues, je ne pose que celle de Paris) image de mars 2020 sous la pluie plus ou moins
il n’y a que quatre reproductions – aujourd’hui il en est une douzaine – en août 2019 aucune
ce sont peut-être des preuves (en août, les travaux des Parisiens – est-elle parisienne ?) (peu importe – allez) deux (ou trois) épisodes des pérégrinations de B2TS (jte dirai que je suis assez content d’en voir – il y avait au mur mitoyen de la librairie orange du quai de Valmy une exposition d’une cinquantaine de cadres – pléthorique et profuse, ça m’a un peu écœuré – Paris en ces jours de décompte des morts (aujourd’hui 58) dues plutôt à la maladie a quelque chose de terrible, une vraie terreur même, une espèce de passion – éhontée, déhanchée, (wtf nano1 dirait « décomplexée ») presque obscène pour la consommation) – c’était avant-hier matin, entre la pharmacie et le vrac de Secrétan – une exposition d’images de mômes
on en a déjà vue certaines (probablement donc, les 4 premières)
collées là
(que ma joie demeure) (parfois, bien je ne sois pas exégète de ces œuvres, je me dis qu’un signe de ce type d’artiste me ferait du bien – Da Cruz, un jour, posa un commentaire, je me souviens)
(adorables) (je pourrais dédier les photos gémellaires à mes sœurs, pourquoi pas ?) (c’est probablement un effet du midinet – ce dégoût qui m’avait pris après la tentative d’intégrer la rue Rollin (Louis Lumière) pour le cinéma) (je suis embarrassé de moi-même très souvent, mais j’oublie – le dimanche, pendant le week-end et son feuilleton)
(dommage pas le point : je la referai, elle doit sourire je pense) (j’aimerai savoir le nom de la station) (je garde le port des bras) – je n’en pose que six
voilà, oui, le truc est daté – une petite rue de Paris
dédiée à Joseph Sadi-Lecointe aviateur et résistant, mort des suites de la guerre en 45 – dans les années 20 du vingt et unième siècle de cette ère
La suite dimanche prochain
plaisir renouvelé (la curieuse impression que c’est la même attendrissane petite personne sur les deux dernières)
@brigitte celerier : c’est ce qui est bien avec le flou, les impressions qu’il peut donner…
Il est vrai qu’il y a un côté « Petit Poucet » dans ce semis de photos que l’on découvre parfois au détour d’une rue.
Je suis d’ailleurs toujours autant étonné qu’elles soient si peu taguées ou vandalisées : l’art vrai impose le respect, non ? 🙂
@Dominique Hasselmann : peut-être… mais il arrive que certaines de ces images encadrées soient remplacées (je crois pas mal à Saint-Louis – un peu à Château-Landon aussi – et elles sont très souvent vandalisées ou volées) (désolé) (et désolant…)