1834 Samedi 19 Juin 2021

le soir vers dix heures reste encore le jour – vers 5 le jour – dix-sept heures de lumière – je dors mal, le repas indien hier soir – on a fêté le bail même s’il n’est pas encore signé – après le cinéma, mais ça, ça n’a pas besoin d’être fêté – il fait doux – café TEC le matin (y’avait soutenance en zoom)

trouvé une belle image du nouveau pont de Gênes (Saint-Georges je crois bien) qui remplace l’effondré (plus de quarante morts en août 18)

collée dans « vivre » (où je me rends compte que la narration n’est certainement pas mon fort) (il se peut que je me cache derrière ces illustrations probablement) elle (l’image) me fait penser à ces ponts qui se gondolent sous l’effet des pas cadencés des militaires – croisée, cette tache de couleurs

dehors le laurier fleurit doucement

lectures toujours (Sureau, Assouline (wtf), Valensi) marché téléphone (mais pas au cousin) sociologie (Yaelle Amsellem-Manguy et Marie-Anne Dujarier) il faudra repenser à Michel Offerlé (conseillé par Ground Zéro)

au cinéma (louxor) Médecin de nuit (Elie Wajeman, 2020 – femis) (c’est beau une ville la nuit) ça va encore (un médecin conduit un break volvo toute une nuit) (sinon, ça va – Macaigne en brute douce (mieux que d’hab – on peut exécrer), Marmaï en salopard (assez bien mais pas crédible peut-être) , Sara Giraudeau en Sara Giraudeau (torride) – Sarah le Picard, la femme du médecin, prénommée Sacha : belle présence) (non mais tout ce qui fait le film noir est plutôt bien; tout ce qui fait le documentaire sur le travail du médecin de nuit est bien (le père du réalisateur, je suppose, joue le rôle d’un homme inquiet; sa femme (est-ce sa mère ?), celle de la malade légèrement blessée) : une histoire de famille, mais bizarrement ça ne prend pas) (le plan de la rédemption, sans doute) (je vois que il y a dix ans, Pio Marmaï jouait déjà dans le Aliyah du même (2012) – on y voyait aussi Sarah le Picard)