Samedi 16-01-21 1677
le vide sidérant – le couvre-feu – les chiffres égrenés par spf – réaliser en respirant – inspirer –
seize lustres hier (l’image doit dater du temps de « Portrait d’une enfant déchue » (Jerry Schatzberg, 1970) où elle n’en a pas six (magnifique) (magnifique aussi dans Little Big Man (même année 1970, Arthur Penn) ou l’Arrangement (Elia Kazan,, 1969)) – l’anniversaire cette plaie – la fatigue ? la lecture (oncle Dan, plus vers une espèce de confession doublé d’un panégyrique mais pas mal d’images dont on fera sans doute le recensement en un billet – il y faudrait les poser toutes – les noms de ceux sur la photo) – une image en couleurs
Matisse (Riton) 1924, intérieur avec phonographe – un ananas – taleur on va manif (Daumesnil (la place aux huit lions) quatorze je crois bien) (malheureuses et si ridicules représentations)
on reverra cette place dans Faux contact (Alain Thuillier, 1981) si j’arrive un jour à numériser la galette qui se trouve sous mon bureau – on peut télécharger une attestation pour en revenir quand il sera bon – je regarde le monde de mon balcon, je vais faire quelque course (manqué le tarama, un peu trop liquide, un pain de mie rue du Château d’eau, 3.10 e quand même) – fais ce qu’il te plaît
on a de nouveau besoin d’une attestation? j’ai loupé quelque chose là… (comme pour le vaccin le temps que je trouve le moyen de m’inscrire c’est complet pour plus d’une semaine et ne prennent plus d’inscription) … nous manifestons aussi devant le palais
La place Daumesnil : les lions ne crachent hélas pas de manière ininterrompue…
J’ai vécu quelques années dans ce quartier (avenue du Général Michel Bizot), plaisir du Musée des Arts océaniques à côté (ancienne dénomination) et du bois de Vincennes et du lac où faire de la barque… un Paris à la campagne ! 🙂
@brigitte celerier : l’attestationpour rentrer chez soi après le couvre-feu (parce qu’on est en guerre comme on sait) :°))
@Dominique Hasselmann : il y a aussi la librairie de l’avenue qui n’est pas mal… (et la statue d’Athena, déesse en or de la guerre) (je ne sais pas ce que j’ai avec cette guerre, là… :°)))