1667 Mercredi 7 Janvier 2021
image datée (dit la légende) de 1967 (en droit de copie à André Lefebvre) (la deuxième fois cette année que le Georges se trouve ici illustré)
insuffisance de la lumière – travail sur le livre de la cousine à Maria (elle sera au salon séjour) – on avance mais sur quelle voie, c’est une autre affaire (on fera peut-être subir le sort à Jean-Pierre Rassam, lequel n’apparaît pas ici)
expertise à Rivoli
Le plus grand cirque du monde (avec une scène d’incendie à peine maîtrisée – brrr… (c’est le cas de ledire)) (Henry Hataway, 1964)
après il faut boire un café – ils sont toujours fermés jusqu’à jamais – on met son max, on se trimbale dans les rues et tout ça ne sert à rien, ne nous est de rien – il faudrait proscrire les jamais et les rien (on rit encore – mais peu, on commence à n’en plus avoir envie) (vaguement le sentiment d’un marronnier avec ces affaires d’abus sexuel sur mineur – tous les débuts janvier, désormais, pour sortir des fêtes (les éditeurs aiment faire des coups) – avant il y avait le blanc : vaguement le sentiment que ça ne fonctionne plus – trouver quelque chose, ne pas parler de poésie – une image de Bober Robert (ça rime dans les deux sens) (avec son POL pote – ça va moins bien, je reconnais, mais on ne peut plus rigoler – assez mauvais goût )
bah
(présentation de son Quoi de neuf sur la guerre ? 1993, prix du livre de la radio inter) – (jour de deuil : stop pour aujourd’hui)
mais il y a cette première photo et c’est si bien
Robert Bober (un nom à la Perec…), entendu il y a environ huit jours chez Laure Adler (« L’Heure bleue », France Inter, à 20 heures 03 du lundi au jeudi) à propos de son dernier ouvrage « Par instants, la vie n’est pas sûre » (POL, « Fiction »).
Envie de revoir son film « En remontant la rue Vilin (1992), toujours accessible, je crois, sur YouTube… 🙂