B2TS Cardinal Lemoine
B2TS (back to the street) une série pendant le week-end (le dimanche souvent) (parfois le lundi) de photos présentant une exposition de photos elles-mêmes collées sur un mur.
il y avait dans cette rue un garage – il faudrait que j’aille y voir par robot interposé : je trouverai sans doute (peut-être) la trace des quatre clichés envoyés par la poste et l’Employée aux écritures (zeugme quand même).
« En face du garage Mercédes » me dit-elle.
J’y vais. J’y fus.
On décèle la présence des travaux d’en face (juillet 2016)
(on appréciera peut-être le mannequin au balcon du premier étage)
ici il n’y a que peu (juillet 2020) mais déjà fortement dégradés
ils sont apposés sur le mur d’une école je crois bien – mais en juillet 2019, ils n’y figuraient point
non plus qu’en 2008 (mais ici (parfaitement standard) l’ouverture du soupirail (ou comme vous voulez l’appeler) justifie le cliché)
(on remarque à peine la défense municipale mais OSEF) et donc nous voici à la tête de 4 clichés (on remercie) (la collection se constitue doucement – plutôt le dimanche)
ah certes (comme dirait Daniel Arasse) on n’y voit rien (un peu le « street » quand même)
à peine plus mais on dispose du format, de même qu’ici
avec signature complète cependant.
On se demande ce qui prend aux abrutis (on pourrait y inclure l’inclusive, pourquoi pas?) pour dégrader de si jolies choses – sans doute cette joliesse leur fait-elle ressentir l’inanité absconse de leurs pauvres êtres – peu importe) : il en reste une
et ce sourire vaut bien qu’on s’y attarde…
Par ailleurs, il peut arriver que l’artiste de rue B2TS revienne sur les lieux de ses collages : peut-être un jour qui sait ?
Merci encore, Employée.
Et bon dimanche (interfestif) (wtf ?).
Et merci à vous pour la contextualisation et l’épaisseur chronologique, moi je n’ai fait que saisir les images en passant.
présences massacrées, oui reste le tendre sourire