1339 Jeudi 13 février 2020
il y a eu dépôt en poubelles
huit ans de travail – non, mais rien – je suis revenu puis reparti à pied puis en bus – ici un (comment c’était aubergine ou pervenche ? quelque chose de ce genre, un légume ou une plante) (virtuelle, mais l’État a tous les droits qu’il s’accorde) (gros métier en réalité que celui-là – je me souviens des paroles (ce n’est que de la poésie disait je ne sais plus qui) d’Aragon tendance surréaliste « sortez dans la rue avec un revolver et tirez sur tout ce qui bouge !!! ») (très déplacé le surréalisme de nos jours – ce qu’il était déjà alors) fonctionnaire en pleine contredanse
trois autres en orange (typiquement nouvelles images nouveaux réseaux)
augmentés d’un mendiant au soleil droite cadre (rage guerrière toujours en Syrie l’ordure elhassad/bachar-poutine-erdoggan) j’ai marché je suis revenu puis j’ai travaillé et travaillé encore (des instits, des ingés, des profs des lycéens – rien de spécial toujours la gentillesse) croisé la souche
(vaguement le sentiment qu’elle va disparaître) marcher encore, puis encore et le soir (copie pourrie, en lambeaux – mais qu’est-ce qu’on peut faire ? c’est le forum des images… quelle misère… mais profondément, je pense que l’institution s’en fout et met son argent ailleurs que dans la restauration des films – affaire de droit, sans doute mais affaire d’éthique tout autant) (terminé Le lambeau de Philippe Lançon – brrr) (entamé Papiers de Violaine Schwartz, extra)
Capitaines d’Avril (Maria de Meideros, 2000) une vraie merveille (entre le mélo flamboyant et le documentaire : le film commence le 24 avril 1974 vers 20 heures se termine le 25 à la nuit…)
Pas vu ce « Capitaines d’avril », je me contente du général Georgelin…
second blog visité… j’apprends ma nouvelle machine, et m’en trouve bien heureuse (oui l’état… raccrochons nous aux petits plaisirs pour un temps – je m’ordonne quelques heures d’égoïsme renforcé)