Pendant le weekend

1218 Lundi 14 octobre

 

 

 

c’est l’été indien ou quoi ? (payer les impôts, régler les factures, faire des comptes et des chèques) (daube) (rester sur ses gardes : j’ai fini le 10 de l’atelier – je continue le journal, je continue à regarder dehors – marché au soleil) le soir vers 5 heures

le film documentaire de télévision d’Agnès Varda Daguerréotypes (1975) en présence comme on dit de Nurith Aviv (chef opératrice sur le film mais aussi réalisatrice – sa réalisation, formelle et très personnelle) (on pourrait gloser pas mal sur le « téléfilm » et sur le « documentaire » qui étiquettent ici ce film)

la retranscription (je n’ai pas écouté mais si elle existe sur mon téléphone) de cet entretien (26 minutes) sera réalisée pour « Ville & Cinéma » la nouvelle rubrique de l’Air Nu peut-être. Pour finir ce film, la Varda conclut  » signé Agnès la dagurréotypesse » – on sait qu’elle s’est auto-pseudo-prénommée – la dernière image du dernier plan étant une porte qui se ferme sur l’entrée chez eux de Marcelle (magnifique figure de ce film qui en compte pas mal) et Léonce (son mari) (les deux tiennent la boutique de parfumerie lingerie du bout de la rue, nommée « Le Chardon Bleu » (ce qui aurait d’ailleurs tout aussi bien pu être le titre du (télé)film) (ils vivaient côté pairs)

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2 Comments

    Varda, une pastille toujours délicieuse. 🙂

  • toujours en avance sur moi malgré tout ce que vous faites en sus
    Veinard ! (ça c’est pour Varda) et quels beaux visages faussement nus à la fin