Pendant le weekend

Mercredi 31 juillet 1138

 

 

 

rien à faire – je ne crois pas que ça puisse s’inventer : c’est là, au maximum du pathétique (mais comme ils sont très forts, les limites peuvent encore être repoussées cf.le chien de garde du prince et son téléphone portable) – il faudrait manifester, comme contre la loi travail (ni loi ni travail (El Khomry vie pourrie disait-on alors) 1138 jours, le chômage va bien, merci pour eux), les gilets jaunes, et puis la fête de la musique : la décoration magistrale des chefs de la piloce, il ne nous manque que la couleur des chemises pour nous retrouver ainsi qu’en un temps (voilà un siècle) nos voisins transalpins – on crie, on invective, on alerte – la musique tourne et les vacances sont là – quelle horreur – des images de la ville après ça, parce que il faut quand même continuer – une image de l’intelligence du boutiquier

une jolie incursion de B2TS sur l’avenue Parmentier (le précédent se trouve sur Simon Bolivar – juste à côté de l’épicerie de L’orient)

cette image PROVOK en bas de l’avenue (je ne sais trop ce qu’ils sont en train de faire mais comme ils sont sur un des miens chemin, on va suivre)

un peu de la cour de la Grâce de Dieu (c’est dans le 10 en face chez moi)

on se croirait bien ailleurs – mais il suffit de se retourner et c’est bien Paris – et enfin encore elle (la musique, oui) yeux fermés

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2 Comments

    et lâchement, puisque ne peux rien, en rester aux proches (en tentant de ne pas nous heurter par nos regards ou mots sur cela que l’on met de côté)

  • @brigetoun : même si on ne peut rien on peut quand même rester éveillé.Merci de passer par ici.