Mercredi 17 juillet 1134
le côté maudit de cette date (1942, merci qui ?) a l’air d’avoir échappé aux programmateurs radiophoniques de cette belle nation : la culture et la compétence historique les ont sans doute guidés dans le choix de leur émission du matin où ils hagiographisent l’abjection (on ferme le poste aux informations, on le ferme aussi aux émissions du matin)
le jour qui se lève sur la ville (même image ici ou là)
l’autre qui dégage en pleurant (il n’y a pas loin du Capitole à la roche tarpéïenne, hein) remplacé par l’ancienne qui servait un autre maître (la trahison, cette joie des politique…) (le pire est à craindre évidemment vu l’amour immodéré qu’elle porte aux privatisations) (comme elle appartient au sexe dit faible, il n’est pas question de lui donner le titre de ministre d’État, tu comprends bien, même si elle porte deux maroquins : « c’est un immense honneur » a-t-elle le front d’affirmer – l’hypocrisie, cette autre joie des politiques…) OSEF pratiquement – croisé les amis bulgares
et des petits métiers (trouvé sans l’acheter une sociologie de l’automobile) (au boulot car il faut, dit-on)
tenté un billet sans narration du film (je ne sais jamais, tant pis, c’est fait) sur Mystery Train dans la chambre d’amis de la maison(s)témoin.
Et pour ne pas oublier : cette femme, soixante ans, incarcérée en Iran depuis le 5 juin pour délit d’opinion (chercheuse en sciences sociales, on ne sait rien de ses prétendus torts – mais on sait qui remercier en revanche, outre ses geôliers : le peroxydé aux moeurs immondes) : Fariba Adelkhah .