Jeudi 25 juillet 1132
cette détestation de ce monde de protections, de précautions, de préventions : c’est à vomir – outre les changements des noms des lignes en numéro (à pleurer), ceux des sièges anti- sdf (abjection), on arrive sur le quai et voilà (caméras de « surveillance » à foison évidemment)
permettre l’automatisation et contrer les grèves par exemple – immondices à plusieurs centaines de millions d’euros : l’augmentation des tarifs ne vient pas de nulle part – après tout, dans les égouts du pouvoir tout va bien, finalement : renvoi d’ascenseur à la tête du centre national du cinéma (et de l’image animée) et bien d’autres mesures ordurières – ça ne fait rien, il fait chaud, c’est l’été – on oublie
heureusement, on a des amis – ça aide à supporter – moi ça me fait pleurer mais ce n’est que la pollution
en dvd Talons aiguilles (Pedro Almodovar, 1991) magnifique (Liv Ullmann et Ingrid Bergman en citation)
heureusement, il est encre possible; même si pas sage, de s’offrir des évasions intéllectuelles