Jeudi 18 juillet 1135
il faut essayer de bosser – la trois de l’atelier d’été est entamée – on est entré dans le dur : les vacances, la torpeur, la solitude des vieux… – lecture de l’espèce de biographie de Michael Caine (où il affirme être tellement heureux)
ici avec sa mère
et là dans Sleuth (Le limier, Joseph Mankiewicz, 1972) avec Laurence Olivier (élevé à la dignité de Sir par STGEM2 – ça a l’air tellement frelaté comme dignité, mais enfin)
terminé « Neuf nuits » (Bernardo Carvalho, Metailé) l’histoire d’un anthropologue qui se suicide parce que la tribu qu’il visite se trouve assez à côté de la plaque – partition en deux, italique ou pas, des points de vue différents non identifiés – difficile à comprendre –
et puis essayer de continuer à faire signer (je déteste cependant imposer une problématique) cette pétition contre la privatisation des aéroports de Paris chaque signature compte on continuera (trouvé cette jolie annonce sur mon « mur » comme on disait – avec gilet jaune svp)
et puis (assez anxyogène – ainsi que les annonces de canicule prochaine pour prévoir l’avenir du réchauffement climatique et effrayer le bon peuple) l’entrée de l’usine de retraitement des algues vertes (ça se trouve à Launay-Lantic, dans les Côtes-d’Armor) – unité de valorisation, pardon – qui a cessé de travailler du fait de la mauvaise qualité des algues récupérées sur les côtes proches – hydrogène sulfuré et méthane : dur dur…
ne savait pas qu’elles étaient si dégueulasses que même le retraitement était impossible
(pour le 3 j’attends, je survis là, même si c’est avec succès)