20 mai 1076
(on voulait aller voir l’almodovar cannois mais le populaire de nos jours (assez friqué, propre sur lui, vêtu de couleurs et grisonnant – un peu comme le rédacteur en réalité – sans les couleurs ni le pèze) avait envahi l’officine (autres salles : les zombies de Jarmusch et le 90’s’ (Jonah Hill, 2019) film à l’agenda) on a décidé à pieds de s’en aller par les rues, et au coin de la Louis Blanc (ici cliché 2008)
on croise cette petite construction briquée – la rue Louis Blanc s’achevait là, dit la pierre arrière (même motif mai 2012 – agrémenté des affiches des élections (législatives) d’alors)
on passe donc, en apercevant, un peu plus haut dans la rue
aperçoit-on sur le côté du mur où s’appuie cette statue (je ne sais ce qu’elle représente – un homme un enfant au dos voilà tout – les traces restantes d’un cimentage ? (ici cliché de mai 2014)
en tous les cas, toujours rien en juin 2016 (remarquer cependant, bord cadre à droite, l’irruption d’un demi-vélo rouge qu’on verra mieux ici) sinon le vélo
avançons – non point dans l’espace, mais dans le temps : ici septembre 2016 (irruption)
ou d’ailleurs (on voit mieux le vélo – mais c’est B2TS qui intéresse, on le savait)
et le début de l’accrochage qui se continue ici (juillet 17)
y’a quand même du monde (une bonne cinquantaine)
or donc on passait là (ici septembre 2018)
et fatalement, on prit le cliché suivant (mai 2019 donc)
ça fait du monde… (merci aux artistes) (je n’ai pas pris les cinquante cinq – ou six – clichés qui auraient immortalisé l’exposition, mais c’est une erreur et un affront fait à l’éphémère) (au besoin un jour, peut-être…) (mais sans pluie, et avec de la lumière)
J’apprends la disparition, le départ, la mort, le décès, de Nilda Fernandez (à l’âge de 61 ans, d’une insuffisance cardiaque dit la chronique – et comme je pense partir de ce même gué ou pas ou chemin, je déplore tout en partageant) que j’aimais bien lors de ses voyages tournées en charrette et autres présentations (comme passent les jours) ah bah…
l’aimais bien nu le petit « édicule en briques… mais l’état final serait digne d’être conservé (sauf que sa qualité tenant au côté éphémère…)
Pas trouvé le début du vélo rouge (photo 4)…
Ah, ces têtes floutées… Vu une voiture-espion de cet acabit à Delft, je l’ai prise en photo de dos, elle s’en allait le long d’un canal, on ne peut plus échapper même là à son repérage. Finalement, on devrait tous se balader avec des cagoules (même si c’est soi-disant interdit en France), ça faciliterait le travail des robots de Google maps.
Les photos sur la petite maison carrée sont plus respectées rue Bichat que rue Louis-Blanc : à quoi sert le commissariat de police du coin ? 🙂