Sur le bureau #43 Carlos G.4
Durant le mois de février, les choses se sont tassées, on a oublié – à peine quelques remous… Celle-ci du 30 janvier (ci-dessus) est jolie (déjà vue, peut-être, mais jolie).
C’est une façon de parler (le recours au point « complot » est efficace chez tous ces personnages – le peroxydé, le fachiste de Tel Aviv, le borgne sénile et sa fille qui le renie, le petit cintré de la rue Saint-Honoré et sa bobonne « les Français ont besoin d’amour » etc.) – puis vient cette image de sa prison
avec en titre « CG. affirme vouloir se battre contre de fausses accusations » – pourquoi pas, après tout ? Vient ensuite, le 2 février, une autre même image déjà employée
le titre : « le bilan contrasté de CG. » – distribution des prix (ou de la parole, avec inversion des rôles), disons.
En continuant le lâchage, cette espèce de une (même recours) le 7 :
Ce « mariage » qui se transformera, en fin de mois, en anniversaire, c’est embrouillé dans l’esprit – mais la photo disparaît ensuite
le titre : « Affaire CG. : les avocats de Renault dénoncent les « dérapages » de Nissan » – le torchon brûle; on va laver son linge sale en public; les comptes se régleront; il ne faut pourtant pas mettre à mal l’union, l’alliance, l’harmonie, l’entente le mariage etc etc…
CG. change d’avocat, jette le précédent aux orties : « Le principal avocat de CG. – Motonari Otsuru – démissionne
Le 13 février, on renonce complètement à l’image :
(parlons argent, voulez-vous ? trente, quarante cinq, plus de millions encore : les esprits vacillent devant les indemnités dues, ou indues…).
Le 16 février :
Ici en première page, du 16 février (le recours à une image déjà exploitée), puis dans les « pages intérieures » pour illustrer le propos
L’avant veille, on avait droit à « Le principal avocat de CG. Motonari Otsuru démissionne » avec cette photo en date du 8 janvier 19 (il démissionne ou il est démissionné, quelle importance ?)
On sut plus tard donc que CG. réorganisait sa défense, il y eut une autre entrevue avec les juges dont on parla plus tard : je ne sais plus, mais ensuite, dans les pages du supplément, cette image
que je n’ai pas découpée; il s’agit d’un photo-montage (c’est un zoom) : ici la mise en page avec le titre, en une (le 22 février)
Ixsir est une localité libanaise (la bouteille de ce vin se négocie dans les 40 euros (carte des vins obligeamment fournie par un restaurateur du cru) :
pas de quoi fouetter un pédégé de firme automobile, mais le nom donne un charme levantin à l’histoire), et puis l’image vient des frasques du couple à Cannes, en 2016, vas-y que je te colle ça sur une toile, image des jardins de Versailles – on tire sur l’ambulance…
CG. demeure en prison – on n’a plus de nouvelles.
Suite fin mars début avril ? Peut-être.
les numéros précédent de la saga CG sont lisibles ici :
le 1 de novembre 18 (11 documents)
le 2 de décembre 18 (17 documents)
le 3 de janvier 19 (18 documents)
lasse de m’indigner… en attendant la prochaine indignation (et de se demander chaque fois pourquoi celui-là), évidemment scandaleusement hors sol, avide, etc… et pas ses semblables qui sans doute ont plus ou moins favorisé la chute – et dont nous devrions nous inquiéter puisque vont prendre suite
sais plus, fatiguée
Ce Ghost – oh pardon ! – commence et continue à nous pomper l’air (avec ses « particules fines », sa 100 000ème voiture « électrique » vendue en France… qui ne pollue pas du tout, on laisse les déchets à Bure, ou en soutanes), oui, vraiment, ses petits soucis, sa femme, « son » Versailles et sa cellule enfin changée pour un peu plus d’espace (si l’on ose dire)…
Faut-il lui tresser autant de couronnes en forme de pneus ? La presse aime les « loosers » après qu’ils aient chuté. Ghost – oh pardon ! – devrait un jour être libéré du Japon et de nos mémoires : Hiroshima, mon amour. -/00—00\