27 février 1093
Rubrique(s) : Carlos Guyancourt / Carnets de Pierre Cohen-Hadria / journal quotidien
27 février, 2019 2(mises à jour ubuntu à peu près aussi longue que celle de w10 : on est content mais on ne voit plus son téléphone s’afficher, c’est con) – on a des choses à faire, penser au Portugal à la famille aux amis et encore au travail à la compta à la liquidation et puis et puis plus un carnet de voyage dans la brume mais tant pis et au soleil – pas d’image donc sinon celle du robot et cette une du journal de référence
en fond un dessin du château de Versailles côté jardin si j’ose dire – et collé dedans une image en noir et blanc du couple Carole (c’est sa deuxième épouse) & Carlos (sauf que l’image a été prise à Cannes mais on s’en fout, tu comprends, on illustre) (à pleurer) (mais c’était pour l’anniversaire à Carole: on ne doit plus trouver de photos disponibles de l’événement, j’imagine) (mise à jour après demain du feuilleton d’images)
Donc de retour dans cette capitale où l’interdiction de rouler en auto a été, est et sera signifiée aux voiture ne portant pas de macaron (comme la mienne), ou ceux supérieurs à 3 si j’ai bien compris (comme on sait (?) la caisse a passé « avec succès » son contrôle technique – la mesure des particules fines émises se situe à un seuil dix fois inférieur à la norme – pot d’échappement neuf… – mais on (ne) roulera (pas) quand même
au cinéma La Chute de l’empire américain (Denys Arcand, 2018) pas vu les précédents (OSEF complètement) bons sentiments grosses voitures et cervelle sur le capot (le circuit de l’argent mafieux ou sale décrit avec détails) assez sympathique disons
Nuestro tiempo (Carlos Reygadas, 2018) (avec lui dans le rôle du mari trompé voyeur machiste (probablement sexuellement impuissant) mais poète (ce qui sauve tout) et sa femme dans celui de l’hystérique amoureuse) grossier, inutile et pervers (mais des plans de cinéma magnifiques et ignobles comme l’éventrement d’une mule) (trois heures de dégoût : comme s’il ne se passait rien d’autre au Mexique que ces pauvres histoires de cul) (sans doute n’ai-je rien compris à la poésie (assez abjecte) du truc) (on aurait aimé u scénario, mais non)
en Dvd : The king’s speech (Le discours d’un roi; Tom Hooper, 2010); The ghost writer (Roman Polanski, 2010); Somebody up there likes me (Marqué par la haine; Robert Wise, 1956) magnifique
Pour la « une » du « Monde » avec Ghosn sur fond de château de Versailles : il faut croire que sa photographe personnelle contrairement à celle de Macron faisant une « maraude » auprès des SDP de Paris dans la plus stricte intimité… – était absente !
Mexique : je n’irai pas voir ce film, merci ! 🙂
je croyais pourtant en avoir vu des photos du couple à Versailles… bon je ne me passionne pas pour eux jusqu’à chercher leur image 🙂
pot d’échappement neuf, contrôle satisfaisant mais interdiction ? ils veulent dissuader d’entretenir les voitures ?