28 janvier 1065
(je n’y fus point, mais sur la place de la République se réunissaient quelques centaines de personnes pour faire face aux probables sautes d’humeur d’un climat chahuté) trouvé ce coureur à un moment je ne sais où (l’image a plus de six ans)
en hiver sans doute (la pluie, la neige, le froid – ça va s’arrêter, c’est probable mais en attendant, rien à en dire) (hier anniversaire de la libération par l’armée Rouge du camp de mise à mort et d’extermination d’Auschwitz, le plus grand cimetière du monde peut-être) (le souvenir du rire et du geste adressé aux personnes qu’il voyait dans les wagons plombés paysan de cet agriculteur polonais dans Shoah (Claude Lanzmann, 1985) refait surface, comme à chaque fois) un homme dans le métro qui quête
et ce reste de Back to the street je suppose, sur l’avenue Claude Vellefaux (10°)
travailler ? gérer comme on aime à dire aujourd’hui ? lire rire écrire dormir ? qui peut savoir…
L’avenue Vellefaux est méconnue.
Mais il reste toujours cette boutique (en face vers l’entrée de l’hôpital Saint-Louis), que j’avais photographiée il y a longtemps, et qui fabrique des enseignes : une sorte d’enseignement artisanal… 🙂
ne sommes pas allés défendre le climat – nous reste à faire notre petite part (mais zut pour moi ce serait : ne plus lire que pendant trois heures en été et supprimer internet… alors..)