Pendant le weekend

17-8 janvier 1054-5

 

 

(que des ennuis avec le blog (merci ovh) – impossible de visualiser, de produire des images comme il faut centrées disons (merci la wtf mise à jour) – s’accrocher : ce monde…

Cesare Battisti est né à Latina, il vient d’être mis sous les verrous par les fascistoïdes dont Salvini est le nom – cette horreur, rien n’est donc fini et tout est à craindre comme à l’habitude – ici une lettre de lui qui date d’une dizaine d’années – l’Italie qui s’enfonce, le Brésil qui l’accompagne et l’immonde peroxydé qui veut son mur

on ne va pas se leurrer mais on ne va pas non plus faire le gros dos – pendant ce temps-là, les impôts sont prélevés directement – rien à voir ? Circulez… marcher dans les rues, aller ici ou là (CG. largué par la France, une de ses patries… dure la vie, dure…)

quadrige de l’arc de triomphe du Carrousel – je n’y passe plus, loin de moi la rue de Lille ou Fabert – l’hôtel où vivait TNPPI – loin dans le temps, au loin, passer devant et sous les ciels

qu’en penser ? avancer encore, faire son travail, cirer ses chaussures, se lever se laver se vêtir – désespérante époque – comme toutes, sans doute – ce petit format dans une vitrine – prendre un café avec E. puis avec mon ami libraire – essayer de travailler et d’écrire mais non (#337)

je marche, je continue, je pleure, j’avance – soixante cinq piges putain… croisé la photo du 1 du 1 de l’atelier – travailler la famille ? les gens, les autres ? je suis fatigué tu sais – j’ai quand même croisé l’image numéro 1 de l’atelier numéro 1 d’hiver – je rame que c’est à ne pas croire

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1 Comment

    Encore un lion évadé de Venise ?

    Dorothea Lange, la photo noir et blanc ?