22 novembre 998 (Oublier Paris #80)

(la débâcle financière est de nouveau parmi nous – quatre mois sans travailler, et voilà le travail) (les dettes, c’est quelque chose) (le temps passe, suspend son vol, mais les agios s’accumulent) reçu par mail cette famille ( je la verrais bien se prélasser au jardin des  plantes – mais l’Employée aux écritures et animaux sauvages réunis en famille ne m’en a pas dit plus) (qu’elle en soit ici cependant remerciée) (#333 symétrisé axe vertical)

et puis, et puis voilà que la gare fait peau neuve depuis un moment, le Montparnasse-Monde se met au goût (frelaté) du jour (centre commercial – sans aucun doute – fier biologique sinon organic, disruptif parce que dystopique, éco-responsable car au bilan-carbone réduit au minimum – sinon positif : je n’en doute plus – le tout augmenté d’une réalité virtuelle bientôt dans ces murs) : nous en étions restés là côté sud (on a commencé à laisser pourrir un peu, histoire de justifier les travaux plutôt pharaoniques – août 2017 dit la légende)

ici côté nord (trois heures cinq l’après-midi) : les travaux ont débuté…

et voici qu’en mai 2018, les choses avancent (côté sud)

comme côté nord

On suit ainsi les pas de l’Employée en son Montparnasse-Monde (bien qu’elle n’y veuille plus passer). Et ces deux-là qui patientent en prime et vestiture contemporaine (zeugme)…

au cinéma : Tangos, l’exil de Gardel (Fernando E.Solanas, 1985) une merveille, definitly ( comme disait Raymond (alias Dustin Hoffman) dans Rain Man (Barry Levinson, 1988)) on aime le cinéma de cet homme-là.