20 novembre 996
Rubrique(s) : Carlos Guyancourt / Carnets de Pierre Cohen-Hadria / journal quotidien
20 novembre, 2018 2
(ça bosse) (sans badge, j’attends qu’on passe, je suis, j’en ai ma claque – ça n’a aucune importance, ça bosse) (réjouissant : le type qui sort de son jet privé et se fait arrêter par la patrouille fiscale – quelque chose qui ressemble à Al Capone – ce n’est pas de l’alcool frelaté, c’est juste des autos : en attendant, je pense à Guyancourt et à ses suicidés…) (le type de la fondation expo photo indique : « Nous ne pourrons malheureusement pas donner suite à votre proposition » : eh bien tant pis, mais c’est dommage – mais merci du retour cependant) (m’a fait souvenir de l’atelier de cet été, va falloir en faire quelque chose quand même) on va voir, ici en pleine lumière un mobilier urbain légèrement fluctuant (hier déjà)
et aujourd’hui (encore plus)
passe le temps – vu cette sculpture d’une amie (Maud) un jeune sénégalais (footballeur champion du monde) pratiquant un selfie avec son ancêtre mort pour la France
et au cinéma, Fernando E. Solanas à nouveau (un homme tellement sympathique) pour la présentation de son film Sur (Le Sud, 1988)
ce film qui raconte la sortie de prison d’un homme (Floréal) cinq après son arrestation par le régime fasciste d’alors en Argentine, belle allégorie, chanson tango et amour magnifiques – une espèce d’âme du pays ou de la ville, cette ville-là…
et vous lire me donne le sourire ce matin
Borne : elle essaie d’éteindre les incendies… (je préfère la première à la seconde)… 🙂