7 septembre 921

en passant devant le conservatoire supérieur de la porte de Pantin, on a trouvé outre un casque bleu, ces débris des revêtements de façades (j’ai vaguement le sentiment d’un gâchis tellement habituel…)

il y a des histoires comme celle-ci qui font légèrement frissonner : il semble qu’une femme et son mari, après avoir trouvé le flacon de parfum dans lequel les assassins ont dissimulé le novitchok pour s’en prendre à Serguei Skripal et sa fille, en soit morte, son mari grièvement atteint…(ça se passait en juin, la tentative d’assassinat en mars – et on a les images des deux sbires) (les déposer fait quelque chose quand même remarque, c’est pas anodin non plus – trouvées sur site united kingdom – des portraits robots; croit-on qu’en les croisant dans la rue on les reconnaîtrait à Bagdad, Kaboul ou Sébastopol – ici un pêcheur dans ce port de Crimée, soleil du soir

) les voici, ces deux tueurs sous pseudonymes

pas facile de vivre, hein… C’est la guerre, en permanence, parce que des cinglés sont aux commandes sans doute (l’histoire de l’administrateur senior de la maison blanche (le canard dit qu’il travaille dans la « fameuse west wing » mais fameuse pour qui ?) qui a envoyé un billet à Times de New-York parc qu’il est entré en résistance est assez cocasse (les risques sont grands, et de plus en plus, il semble…)… Un aspect plus tranquille de ce monde, reposant et bucolique quand même…

Bon week-end.