4 juillet 856
fait chaud, pas vrai ? hier une des merveilles du monde en a salué une autre, au pied de la tour de fer sous laquelle une autre merveille (mais mâle cette fois-là, le
si regretté Johnny) chantait à tue tête les 14 juillet chanceux de ce beau pays (« c’est l’heure de sonner l’halali » disait sa balade pour un fou) – sur l’image, droite cadre (zoom
) le visage du garde du corps, et cette attitude ont quelque chose de terriblement pathétique – j’étais au bar, oui – au fond de l’image on croirait l’ami Joachim en train de rédiger un des ses beignets : sur l’aiR Nu, critiques de livres à écouter sans attendre les beignets de l’été – mais non, ce n’est pas lui
actualité fiévreuse de l’autre chaîne de maçon infos (!!) en continue, pendant que bobonne anime le quartier, l’autre s’en est allé négocier quelques contrats probablement très uranifères, on peut le penser… fait chaud hein
il s’agit d’écrire et d’écrire encore – pas facile, mais tant pis on avance et on avance encore
zéro journal pour la fête de la nation étazunienne
Il est beau, le mur de verre qui entoure le monument de fer ? 🙂
j’avoue que je découvre les dernières nouvelles de ce couple que préfère ignorer (les résultats en ce qui nous concerne me suffisent largement)
là vais vous dire au revoir je pense jusqu’à fin juillet – m’enfonce en égoïsme – parlerai encore davantage que de moi 🙂
me rattraperai en août