13 avril 774

puisqu’il faut bien travailler, j’y fus (des hordes entières de jeunes gens venus là pour « l’alternance », soit en costume comme on fait maintenant – une taille au dessous fausse pochette trait blanc barbalakon – soit en habits sportifs (capuche barbalakon) pour les filles ça fait peur – passons) il y avait une batterie de quatre ordinateurs posée sur un comptoir, un questionnaire de l’année dernière sans doute (sous Google) des gens et un tapis rose fuschia, et des gens (j’ai gardé mon calme); mon amie E. est partie là

j’ai eu des nouvelles de mon disque dur (terminé, données écrasées, à changer) il faudra qu’un jour (une seule journée) je fasse la liste des professions des enquêtés une seule fois (mais je devrais alors noter et non mettre en case) croisé ceci

le matin même dans une vitrine, cette quintuple effigie de STGME2 dans diverses postures

(en bas on reconnaît celle de monsieur fayot) j’ai continué ma route, vu cet exemplaire de l’hebdomadaire poids/choc (3587 divisé par 52 donnent pratiquement 69 ans d’existence au torchon, comme quoi ça a la vie dure)

il y avait dans la cour ces prunus (voici qui constitue une espèce de marronniers – comme disent les journaleux – de blog)

il y avait aussi ce bouquet (quand quelque rose croise le chemin de l’opérateur, il ne peut s’empêcher de les attribuer à TNPPI)

(pendant ce temps-là, à Chartres, il s’en passait de belles (Anne Savelli recevait Virginie Gautier à l’Esperluette) mais c’est aujourd’hui aussi à la Vallée aux Loups (entrée libre – bravo les amis…!) dans le métro, on avait colorié une rame

et le soir au ciné Notre enfant (Diego Lerman, 2017) (bof) ici le réalisateur et sa traductrice

(on ne les reconnaît guère) (pour les afficionados : le Chasse-Clou va bien et part en vacances en Bretagne)

6. rappel du chiffre, 13 avril 2008, 22:21