7 mars 737
aucune nouvelle (trois semaines quand même : ça glande ou ça n’informe pas) (saisie quand tu nous tiens) je corrige, chapitre 30, je lis, j’appelle, je lis et continue (le sujet s’éloigne un peu mais, c’est égal, lorsque je travaillerai seul ce sera une autre histoire même si c’est la même) (difficile à comprendre, hein mais pourtant simple : cette histoire-là, c’est la mienne) (samedi en huit atelier live probable)
sur ce tableau qui ne fait pas le point, une fois (et peine plus) Lacan, trois fois (et presque et demi) Freud, deux compagnons de voyage
au ciné « Le forme de l’eau » (Guillermo del Toro, 2017) oscar et compagnie (lion d’or à Venise aussi stuveux), une (belle) histoire d’amour comme s’il en pleuvait, de la flotte partout, des parts de tarte et des paires de claques qui se perdent, une musique dans le même ordre d’idée (oscarisé Desplats) mais une merveille quand même : une petite séquence (réitérative) dans l’autobus qui mène notre héroïne au travail (image magnifique, musique javanaise : rien que pour ça, on n’a pas perdu sa soirée – mais pour le reste, si…)
vue capturée depuis le restaurant du bazar
le « I’m back » de Paul Newman, dans je ne sais plus le titre du film (La couleur de l’argent, Martin Scorcese, 1986), avec cette réminiscence de celui où il jouait au billard, une merveille du noir aussi (L’arnaqueur, Robert Rossen, 1961), les voitures sur l’autoroute, la centrale de mantes la jolie, l’étoile, l’avenue Friedland, Paris, les arbres de la rue sont blancs, les types ont leurs capuches, ça ne fait rien, le printemps
un film pour une séquence, sais pas si ça m’incite à faire la queue… faudrait tout de même que j’y retourne un peu au cinéma, perdu l’habitude et me prive sans doute de beaux moments
(souvenir de l’arnaqueur, à l’époque j’y allais encore)
Le billard dans les films américains : un beau sujet d’étude..
Je n’ai pas tout compris de ton faisceau d’allusions (mais c’est sans doute exprès) !
La forme de l’eau, ça ne me tente guère, par contre, oui « Call Me By Your Name »… rien déjà que l’Italie (avant les élections « populistes »)…
@Dominique Hasselmann : je ne comprends pas tout moi-même c’est pour dire… :°))
@brigetoun : la bluette de del Toro n’est pas si mal pour s’y remettre, allez…
Merci pour vos commentaires.