23 janvier 695
deux photos de l’attente sous la pluie (quarante jours quarante nuits – il pleuvait fort sur la grand’route) (se souviendra-t-on de quand auront débuté et ce déluge et ces pluies à répétitions, ces 14 degrés en plein janvier ? on les prédisait depuis quelques lustres pourtant…)
beaucoup apprécié la rixe qui a opposé la horde des tenants de l’un des poids plume à l’autre, dans cette ville de Levallois (à l’édile du même tonneau que le petit à talonnettes dont il est l’un des supporteurs – on peut espérer qu’ils se retrouveront sous les verrous, peut-être, bientôt – bien que ce ne soit à souhaiter à personne…) samedi soir dimanche matin (ainsi que les paroles de la femme d’icelui : magnifiques) , c’est l’une des raisons qui fait qu’on agonit ce compartiment du jeu de société – une autre, en image, montre le #322, la honte pour le genre humain, et l’effigie arborée comme une espèce de mise en scène de soi-même, obscène et crue (photo volée depuis l’épique, le journal quotidien le plus lu de ce beau pays)
douteux…
j’attendais ; au bar, le match guinée maroc, l’un des accoudés « qu’est-ce que tu crois, t’y connais rien, bien sûr que non, que c’est pas la guinée bissau, c’est guinée conakry allez, va te coucher, va » ; je suis parti quand la guinée menait trois à un juste à temps et le carton rouge pour un coup de pied en traître
ne reste qu’à appliquer le je suis parti
Heureusement que vous êtes là avec votre petit coin de parapluie !
Vu que « L’Équipe » licenciait un paquet de ses journalistes : « c’est sportif ! » comme le disait le dernier « Canard enchaîné »… 🙂