12 janvier 685
toute la journée à tenter de (et parvenir à) finir la saisie – demain en sortir 9 – aujourd’hui, de fait –
lorsqu’il y avait de la lumière, je me suis enquis de la disparition de la grue de la rue – il faut que je passe chez le coiffeur mais pas aujourd’hui – il y avait audience – le soir en allant vers Palais Royal
partir avant la fin, devant soi la rue du 4 septembre
et penser à ce rendez-vous dans cette librairie Charybde, 19.30, y aller
revenir (demain je fais un billet sur ce bar d’un modèle nouveau et contemporain où il s’agit de poireauter dehors avant d’entrer pendant qu’aux vitrines se pavanent des milliers de bouteilles de couleur) et puis continuer, ne pas subir, avancer et vieillir
10/01/08 bibliothèque : j’ai cherché la princesse de Clèves sans la trouver : pourquoi ce livre-là ? jamais lu, jamais vu, des livres d’Isaac Singer ou de Saul Bellow, oui, mais de madame de Lafayette ? on me dit, d’ailleurs, que c’est une affaire de cosignatures, alors madame de Lafayette ? les Etats-Unis ? les galeries ? je suis fatigué ce soir
11/01/08 rue de Rome : une Gretsch blanche comme celle de Young « on the beach », rue de Rome, une merveille, même pas demandé le prix
12/01/08 muses musiques amusé : je passe en boucle « soldier thing » proposé par kms –on remercie ici– tout en lisant les avant coureurs de ledzep : en plus l’atelier 62 est arrivé à la plume vagabonde et je suis allé chercher le nouvel imac remplaçant l’ancien, mort depixellisé l’année dernière, j’attendais les soldes, y’en a pas, je suis le suicide questionnaire bouclé, samedi soir dimanche matin
Amusant comme cette rue de Rome est restée « dans son jus » avec toutes ses boutiques d’instruments de musique et de partitions. C’est un peu du patrimoine parisien avant que les magasins de mode ne s’y attaquent un jour ?
L’iMac est un joli trombone.