Quatre décembre – six cent quarante six
(j’arrête le jour de la bête de décompter les jours façon « nuit debout ») (je ne me renseigne pas suffisamment , je n’achète plus le journal, et j’ai tort – les finances, certes, mais pas seulement : il y a ailleurs, l’autre quotidien par exemple, d’autres nouvelles, j’imagine ( entre « autres » et « alternatives » faut voir…) (une espèce de dégoût depuis 2005 et le non, puis l’ère du minuscule, celle du fat et maintenant celle de l’hypocrite : lire les journaux régimaires (c)…) (hier soir dîner chez A. pâtes courgettes saumon crème fraîche magnifiques)
panoramique sur la campagne hier matin vers 9
fermer l’eau vider les tuyaux finir de tailler ranger récupérer HIllairet continuer à maudire le sort mais garder le plaisir et la joie de l’éphémère
demain encore et demain (administration, établissement des devis, comptabilité liquidation, et le reste) (le journal de l’Employée aux écritures de l’année 1987 – on avait même mis sur l’ouvroir un « Blues toujours » si tu te souviens, et puis les choses vont comme elles vont) (rédaction comme à la table du texte 1 hiver 17)
la beauté de la campagne… plus franche que les journaux (ne lis que Monde Diplomatique, Alternatives économiques et de temps en temps la Marseillaise… et puis le Canard et le Ravi et ce depuis longtemps, avec coup d’oeil sur les sites du Monde pour voir images des faits)
Les journaux papier (à part exceptions) me manquent.
L’autre fois, joie de déplier le « New York Times », avec son format immense auprès duquel « Le Monde » est d’un riquiqui ridicule.
Mais Dieu, que la campagne est belle… avec ces photos, tu la ferras ! 🙂