Pendant le weekend

Vingt quatre onze – 636

 

 

Combien ça lui fait déjà – il est de 49, tu comptes – bon anniversaire donc (ici le blog de Didier da Silva qui décrit chaque jour vers minuit une à la manière du journal de votre jour de naissance) (aujourd’hui la 79ème du nom) donc

(c’est certain, il faut travailler, donc j’y vais, mais je change de chemin

passé par ici(ça risque de disparaître sous les coups de pioche, ça) (rue Delessieux) continuant croisant radical consultant son portable, joggeurs, pont

vélocipède

je serai bien allé au cinéma, mais pas le temps (rond point des canaux)

marcher un peu,submergé tous les jours, tous les jours mais qu’y faire, continuer (je vois que mme Célérier a contribué au #7 : bravo !) (pas encore lu quand même, hein) (je dois aller voir le PE/699, pas encore paru) (ne pas oublier les 36 secondes sur l’aiR Nu d’Anne Savelli, qui se produit ce soir, à vingt heures et à l’invitation de Sebastien Rongier et à la maison de la Poésie) (date réservée depuis lustres… dommage – mais merde à elle !!!) (et vous allez y…!)

ici le Saint-Denis, puis au zoom (on veut voir la basilique, mais elle est trop loin)

ou alors seulement hors cadre.

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3 Comments

    Le pont vers la rue Louis-Blanc… tu n’allais quand même pas au commissariat de police ?

    Belle lumière de l’avant-dernière photo…

  • mme Célérier est bien trop longue de toutes façons
    et elle fait voeux pour que les coups de pioche évoqués au début ne se matérialisent pas

  • @brigetoun : en tout cas le texte est vraiment bien
    @Dominique Hasselmann : perdu ! (c’est le pont sur le canal Saint-Denis) (ou la ferraille, celui de la petite ceinture canal Saint-Martin…)