Pendant le weekend

Trente – six-cent-quarante-deux

 

 

(ce fameux tiret que je pose, un peu comme un dialogue, je n’en connais pas le code) (j’ai perdu mon grévisse dans l’incendie – mais non mon Hillairet dieu merci comme disait ma grand-mère) (elle y posait peut-être bien une majuscule, mais qui encore pour y croire ?) (si je retrouve l’image je la pose)

(trouvée ! c’est beau de ranger hein) (mais aussi un peu obsessionnel et c’est une maladie fatigante) (à ce propos, j’ai découvert, lisant la notification de l’avenant, la signature (la firma disent les Italiens, qui ont bien des lustres d’avance dans l’élégance de la langue) de l’éminence qui gouverne les destinées de l’institution – je ne peux guère la poser ici, tout de même, on attendra que cette seigneurie aille ailleurs parapher les pièces administratives – elle affirme cependant – la firme, pas l’altesse – le caractère d’icelle (l’altesse, donc, pas la firme) (les fleurs de TNPPI, comme elle, me manquent mais n’importe, j’en importe)

(si on suit, on n’ignore pas que celle-ci est la fille de celle-là) (je m’égare : le billet d’aujourd’hui a cette qualité, il est tard – ou tôt c’est selon – et je n’ai pas le goût des affaires du monde : la comptabilité en exercice m’a fait parvenir un mail long comme le bras (il m’en est d’ailleurs tombé) où il faut justifier ici ou là, quoi ou qu’est-ce et c’est sur le pain, là, de cette planche-ci que je dois remettre mon ouvrage demain et c’est déjà aujourd’hui) (pfff) (vu chez Lucien Suel (que je salue) un magnifique commentaire (j’y ai conçu quelque chose comme la cuisine du changeur d’yeux de « Minority Report » (Steven Spielberg, 2002) difficile de se refaire) de F. Palmari que je salue itou et que je pose en lien – zeugme ? – le poème express 695 (P/E 695 en langage anonyme) a donné lieu à cette joliesse due à Daniel Cabanis ((c) tous droits réservés) (salut à lui)

(j’aime croire que l’extrait dans les roses soutenus du haut de l’oeuvre correspond à une espèce de fez – j’en achetai un dans les hauts d’Istanbul (aka Constantinople; alias Byzance), un jour de 12, me souvenant sans doute de mon grand-père – le mari – et donc le père, si on suit, au fond, là – de celle qui parraine ce billet)

au programme : corriger plus contrôles de cohérence de la saisie; édification des factures; aller chercher des guides de l’ex-capitale du Royaume des deux Siciles qui vit naître Francesco Rosi (bravo!) mais aussi Paolo Sorrentino (nettement moins bravo); retrouver celle dont on fêtera l’anniversaire; répondre au mail comptable; continuer le 1 d’écrire film qu’on posera illustré en maison(s)témoin (les photogrammes sont prêts); courses peut-être soupe poireaux/pommes de terre sans doute; séminaire; fait beau sinon, la vie ça va ? Avec mes encouragements, et mes compliments.

 

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2 Comments

    J’avais vu aussi cette « traduction » ou « transposition » graphique du dernier billet de Lucien Suel : j’ai voulu commenter mais, comme souvent sur cette plateforme de blogs, je n’ai pas réussi à prouver que je n’étais pas un robot, même après avoir coché toutes les voitures et écouté un sabir incompréhensible.

    Heureusement, les couleurs parlent toutes seules… 🙂

  • @Dominiqiue Hasselmann : Lucien Suel a recopié ton message dans ses commentaires… et merci pour Steve McQueen