Pendant le weekend

Seize dix-sept – 628

 

 

in memoriam Françoise Héritier qu’on aimait, une lecture de son « Sel de la Terre » magnifique, sur  l’aiR Nu 

 

(pour écouter Anne Savelli, faire défiler jusque la trentième lecture)

c’est ainsi…

hier au travail, un type de 62 ans, ancien de l’armée et de la société ferroviaire, à la retraite – j’ai manqué ma vocation, je le savais : deux ans de plus que l’objet, et toujours au turbin, et pour un moment…C’est ainsi, mais c’est pas simple, la vie… (une autre fois, je raconterai ses propos de mâle certitude)

(en haut, gauche cadre, l’entrée du Pont Royal genre palace à 300 la nuit, sympa…) (quand on marchait dans la rue du Bac pour aller voir en son hôtel TNPPI)

sans image, la rencontre avec Mathieu Pernot (formidable photographe), à la bibliothèque du 10° François Villon

(une image quand même, elle n’est pas de moi, comme dans les contes de la sorcière) (lorsqu’un homme -ou une femme – meurt, on attend, on attend, puis on brûle sa caravane)

au ciné « M » (Sara Forestier, 2017) adorable (bah, ça va bien : courageux, en tout cas; et pour un premier film, on salue vraiment) (c’est toujours un peu pareil : la scène de lit est peut-être trop explicite – chacun(e) fait comme elle(il) peut)

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1 Comment

    j’aime quand je ne suis pas sure de comprendre… un peu de flou ça fait du bien