Treize neuf cinq cent soixante deux
Trouvés dans la rue ces deux cartons de savoir (ce gâchis, ainsi que pour ce que récupèrent les Bulgares, ce gâchis, ici, quelle misère et quelle honte…)
qui fait penser à ce que trouvait l’Employée aux écritures il y a peu (c’était avant les vacances, certes) (le treize du mois de septembre est la date anniversaire de sa disparition, un samedi à trois heures) (pas à l’Employée, à ma mère) (neuf ans putain) on a été voir un peu ce qui se tramait à la Bastille (un peu de flotte et beaucoup demonde)
on bouge parce que on ne veut pas trop reconnaître les participants
je n’ai d’ailleurs vu personne de connaissance (un acteur un peu connu simplement – je ne le connais pas si tu veux voir) mais il y avait du monde, tant mieux, et tant mieux (avec les mots du minuscule 2 du style fainéant/cynique/extrêmiste amalgames répugnants, cette arrogance et cette couardise du haut de son olympe…)
en dvd « Chinatown » (Roman Polanski, 1974), (chronique à venir dans la maison(s)témoin, avec Jack Nicholson alias) Gittes qui traite le réalisateur (qui est petit en effet) de « midget » (nain) juste avant de se faire couper le nez…
L’oracle a dit « extrêmes »… (mais il ne connaissait pas le mot en grec même s’il en a dit quelques onomatopées et a cité Pericles, puisqu’il n’y a pas péril en la demeure).
J’ai toujours aimé – et ça n’a pas changé, apparemment – les comptabilités inverses du nombre de manifestants, celui donné par la police et celui des « organisateurs ».
Macron était ailleurs, il aurait pu recevoir les « îliens » – sans doute un peu des « aliens » pour lui – sous un chêne plutôt que d’aller faire une « patrouille » nocturne avec les « forces de l’ordre » arrivées soudain en nombre.
« China Town » est un chef-d’œuvre et Polanski un acteur curieusement sous-estimé !…
on jette, on jette
et les photos en mouvement sont plus expressives