Vingt quatre huit cinq cent quarante deux
voilà que les insomnies me reprennent avec les autochtones qui rentrent – ils sont là bronzages étalés plus tongues et bermudas de plus en plus nombreux – mais le boulanger n’a pas réouvert, on se bouscule un peu plus que la semaine dernière dans le métro
c’est une série qui débute, les bulgares qui récupèrent les encombrants
sauf que évidemment (vu l’état policier, pardon, d’urgence dans lequel nous vivons – ça va faire deux ans, remarque, la police a des difficultés c’est certain mais le 12 septembre on va dans la rue quand même, et le truc avec ordonnance – ni loi, ni travail – va faire chauffer le bazar) (on l’espère) je floutte (comme le robot) les plaques et les profils, j’en suis fort marri (ça se voit à peine). Bien aimé voir que le ministère du travail recevait en premier le mouvement des entreprises de France (aka medef ex cnpf d’yvon, le père…) et que le patron de ce mouvement (pierre le fils…) savait quoi faire du CICE – en lien la une du canard enchaîné l’encadré en haut à droite) (merci qui ?) (entendu nono dans le poste, ça fait chavirer…).
Promenade dans le parc retracée dans la maisons(s)témoin avec des souvenirs vieux d’une quinzaine d’années et plus (des textes à revoir, relire, travailler, continuer) (et #5 aussi)
un sourire c’est non ?
(passé rue Bichat où toutes les images sont là) (merci à B2TS) bu un verre à la terrasse du Carillon, j’écoute la radio et je vois (j’entends plutôt) que moitié galeux (aka mon chou) a donné des ordres d’économie – on passe matin et soir les mêmes émissions, on rediffuse et l’auditeur on s’en tamponne – je n’écoute plus inter il y a été imposé des moments publicitaires obscènes. Merci qui ? je vais fermer le poste…
Oui, difficile de reconnaître France Inter… et pas encore écouté Patrick Cohen sur Europe 1 : après, on nous fait tout un cirque sur le transfert de Neymar (comme le dit un dessin du Canard enchaîné : « Il a bien fait de quitter Barcelone ! »…
Ces Bulgares, voir si ce ne sont pas les « travailleurs détachés » dont se préoccupe sérieusement notre ami Macron ! 😉
longtemps que je n’écoute plus France inter de toute façon…
premières lignes, le souvenir de cette semaine où mon téléphone de gérante n’arrêtait pas de sonner… alors que les artisans revenaient à peine, la semaine des gueules sombres en place des sourires las des touristes dans le métro, quand je rassemblais consignes à passer avant de fuir loin des parisiens
quant au clown triste du Medef, ne pouvant empêcher son existence, j’évite de l’écouter..