Vingt et un cinq cent dix huit
(on part en vacances : zéro wifi mais – à ce qu’il semble- tous les enfants, puis un tour, et retour : on verra) (OSEF un petit peu, mais) sortant du cabinet d’expertise comptable j’ai croisé ceci
et il est bon de savoir que ces choses-là existent (je veux dire j’aime l’oeuf-mayo et si l’occasion se présente, je ne suis pas le dernier à m’en taper un – ou deux), c’est la marquise d’un café du bas du Malesherbes juste en face de ça
(je ne sais trop j’imagine que c’est Jeanne d’Arc – avec celle des Pyramides, celle du treize sur le boulevard Saint-Marcel, et celle de Marx Dormoy -près de l’église – ça en fait un minimum de 4 à Paris, ça va la pucelle sinon ?) il faisait une chaleur accablante, je me souvenais que quarante cinq ans plus tôt, j’étais, à la même heure pratiquement, allongé sur ce le haut de ce mur-là
où j’écoutais (alors que j’agonis le vélo et la course de juillet) la retransmission, sur un transistor (j’aime la radio, en revanche), de l’étape du jour et sans doute fut-ce ce souvenir qui me fit divaguer (j’ai pris le métro à Cadet, ce qui fait une trotte quand même), sans savoir non plus que le lendemain serait comme il serait.
Croisé aussi ces gens-là (terrasse là-haut, souvenir des grands magasins de mme Savelli) dominant le boulevard
J’ai aussi, pour l’établissement d’une permanence nationale (puis internationale) de l’aptonymie des rebouteux/osthéopathes/redresseurs de tous poils/kinésithérapeutes/kinesthésistes/chiropracteurs et j’en passe de cette corporation (tout à fait respectable, attention, nulle attaque contre celle-ci ici), recueilli ceci
(t’as raison, Mathieu, les tordu-e-s, ça suffit comme ça) (j’ai caviardé le numéro de téléphone, toute publicité pour la médecine – qu’elle soit biomécanique ou peu, appliquée ou non- étant formellement interdite) .
Sur ces galéjades, je m’en vais en vacances (merci à vous pour vos commentaires, Martine (mes voeux de rétablissement à C.) Brigitte Anne, tou-te-s les autres évidement – à bientôt)
et un grand merci pour votre fidélité si rare
Bonnes vacances, grand divagueur (no wifi, no limit, le pied)
Les vraies vacances, oui, c’est peut-être l’absence ou la coupure de toute connexion Internet.
Rompre les amarres… un temps.
Bon séjour !
Dominique