B2TS 4 & 5
Bientôt les vacances (c’est déjà commencé ? ah d’accord…) et la série entamée va marquer la pause.
(il me semble que le type se trouve devant cet immeuble (neuf mais déjà tellement daté) qu’il y a à Stalingrad côté dix neuf) on aime les sourires
la chemise la veste, les chapeaux et les postures : deux amis sans doute, peut-être seulement d’une heure au bar (les gilets)
il y avait une jeune femme noire qui toute entière vêtue de panthère – comme celle-ci – ocelot aussi ?)- glissait sur le boulevard Magenta chevelure d’or
le bleu de Marie sans doute, un peu délabré, la foi, quelque chose avec ces anges là-haut (le mieux, en tout cas, ce sont les reflets qu’on discerne à peine) (uniforme)
et celle-ci sur le quai M(alaquai, peut-être) et son pirate de fils (ou neveu, on ne sait pas dire mais la main sur l’épaule, oui) (il y a aussi le grain du béton qui porte quelque chose)
cette main-là sur cette épaule-ci, l’amitié l’amour : épatante
le travail – vêtements professionnels, cette boutique qu’il y a vers la gare de l’est Braggard dit ma mémoire, uniformiser et rester semblable
professeur ? canne; barbe lunettes rondes et casquette, s’habiller dans les noirs, quelque chose de la pédagogie, de l’enseignement, du passage ? je passai justement, allai-je d’est en ouest
homme femme enfant on est là, on attend l’autobus, cherche quelque chose dans le sac, on lit, on s’apprête on va dans le monde, donner aux autres à voir ce qu’on est
ou ce qu’on aimerait être (professeur ? cartable, chapeau : milieu de a route (presque) du côté de la gare – du nord je dirai – quelques arbres pourtant, plutôt de l’est alors ) (huit hommes, trois femmes, trois enfants deux filles un garçon, en ville)
La série BT2S reprend en dimanche d’août (tandis que le rédacteur ajuste les cadres des six ou sept épisodes suivants -pendant le week-end officie la semaine qui vient mais prendra pause pendant quelques semaines aussi peut-être jusqu’à la mi-août – chanson de l’enfance il me semble me souvenir)
et merci pour ce bouquet