Trois six cent quatre
(trois bougies fusillées et voilà la caisse qui ne repart plus; résultat : back in Babylone à dix et demi, flotte et déception) OSEF certes, quelques jours à la campagne ça ne fait pas de mal (on a manqué du coup le concert à l’IMA)
un peu de pluie dans le ciel des éclairs (pas simples à capter) à peine entrevus un soir à la campagne, peut-être le temps d’écrire (mise en place de la série B2TS qui va prendre un certain temps, mais où la poser ici, là ailleurs ? sans questions sans réponse, bientôt deux fois trente sept, il serait temps de s’y mettre) un avant goût pour m’aider (Londres)
et ce dessous de plat sur la table qui servit de fond à la série « le petit alphabet illustré » (le mimétisme qui s’empare de l’opérateur pour créer des séries ? (celle-ci date de 2015) comme à la télé ? comme chez les revendeurs de publicités frelatées et immondes qui intiment de consommer, et encore et encore plus ? WTF ? je ne sais pas trop…) (geste suprématiste : carré blanc sur fond beige en spécial dédicace à Kasimir M.)
on ira au ciné, c’est le week-end fin de semaine pentecôtiste en diable, le froid dans les articulations, le mal au crâne et les yeux qui geignent, pleurent, les enfants qui s’en vont, qui réussissent qui prennent le monde, qui rient jouent boivent chantent, c’est juin moments difficiles à passer examens chaleur orages images et fleurs, laisser passer et garder la tête froide
J’asq 38. Venezuela a trouvé son sens dans petite Venise, chapelet d’îles sur le golfe de Maracaïbo aperçu par ses « découvreurs » européens (Caracas 5 millions d’habitants, hymne national « Gloire au peuple brave », l’une des plus grande réserve de pétrole du monde) (je suis et reste dans Venise : on la voit icic au fond de l’image tandis que file un hors-bord, entre elle et lui l’île de San Lazzaro)(photo (c)robot)
suis délicieusement perdue (sauf par le début)
Il faut savoir quitter Venise pour aller dans une autre île (celle des maisons rouges et jaunes)…