Huit six cent dix (an II)
(dans la file d’attente, ainsi que dans la salle avant la projection – on s’est tiré juste après le film, un documentaire qui prend pour objet une ordure de Birmanie en posant le contrepoint par la religion que l’ordure elle-même défend, c’est pour dire – le film est pas mal, dans l’ordre (dixit le réal) d’un triptyque – Idi Amin Dada augmenté de Jacques Vergès : avec double vé là, trois fois la pourriture sur l’humanité quand même – ça frétille car la personne même du réalisateur sera présent – on espère tant communier avec lui dans la vision de ce joyau – pas de quoi en faire une affaire non plus jte dirai « le vénérable w. » (2017)) (beaucoup apprécié le « je ne veux voir qu’une seule tête » du vigile dans la file d’attente – il y avait du soleil quand même devant le cinéma)
en sortant, les quais de la gare (ce sentiment d’être instrumentalisé par ce cinéma municipal m’indispose de plus en plus – j’ai gagné une place au tirage au sort, certes, mais enfin ce dispositif nauséeux, je ne sais pas mais ça ne me plaît pas), avant cela j’avais été là
qui n’est guère que la suite de
(ou la précédente) (l’ami sortira de cette clinique semaine prochaine je crois) ce qui fait que j’ai pris pas mal de photos pour les séries (plus invent’hair plus optic’air) que je veux tenter de mettre sur pied (turkish catering) (c’est bien en anglais pas vrai)(ici sur la rue du faubourg du Temple)
(qui seront comme quelque chose du semblable des alimentations générales que je fonde aussi, mais plus sur la nuit (ici sur la rue du faubourg Saint-Denis; je n’ai pas de théorie encore mais ça va venir)
)
ce soir, à la bibliothèque-médiathèque Robert Desnos (Montreuil-sous-bois) lecture de « Décor Daguerre » Anne Savelli, éditions de l’Attente, 2017) j’essaye d’y être… (par ailleurs, 32 boulevard Richard Lenoir, non loin de chez Jules Maigret)
photos non robotisées… ça change agréablement !
Dimanche matin, départ pour Leipzig, une dizaine de jours, j’ignore encore si j’arrête ou pas mon blog pendant cette escapade…
Mais quelle importance ?
@Dominique Hasselmann : bonnes vacances camarade…!