Vingt deux quatre vingt trois (an II)

la merveilleuse exposition de la rue Bichat (Paris 10)

signalée par l’ami DH (j’en profite pour le remercier – surtout aussi de Monk)

dans  la rue tandis que ça tractait pour le président (je ne parviens pas à comprendre comment il peut se faire que des gens croient en cet ectoplasme), le marché sur le bord (hors de prix, ou c’est moi ?) (on tractait aussi « pour soutenir le ministre de l’environnement sinon il va se retrouver tout seul ») (ouais)

et aussi surtout ces magnifiques photos de #backtothestreet (70 merveilles si j’ai bien compté) ici devant l’une des entrées du métro Stalingrad : adorables (je ne sais pas si j’y parviendrais, mais j’ai dans l’idée d’aller les capturer toutes). Lu dans le supplément livres du wtf bnp newspaper la résistance des écrivains grecs, l’incendie d’un cinéma un jour de 2013 ou 2012, je vais me renseigner, ça m’est apparu une autre très bonne piste.

Je me prépare : le premier juin, au centre Wallonie-Bruxelles, avec l’aiR Nu (on porte le #28), une prestation dans le cadre de la Périphérie du 35°Marché de la Poésie.

Au cinéma « Saint Georges » (Marco Martins, 2016) dommage, une fin dérisoire (il faut bien que ça finisse, en même temps) (mais de cette manière-là, c’est con) (un travail au son remarquable)

J’asq 37. les oiseaux commencent à chanter à 4h53.