Vingt cinq quatre vingt un (an II)
pluie, vent, froid : seins de glace (c’est pas fini, non ?) nuages et précipitations – j’ail failli aller voir « Saint Georges » au cinéma (trois salles) mais finalement non, ça ne s’est pas fait (Marco Martins, 2016), une autre fois, mais c’est le travail qui diffuse partout -des heures entières à reprendre, reposer couper coller ici là ailleurs décaler recaler et encore et encore et pourquoi – laisse, continue – un mail du cousin, un appel à l’hospitalisé (qui reçoit sa fille ces jours-ci, laquelle vient de chez STGM E2) on a du mal à suivre, pas vrai ? (le frangin à Montpelllier)
une image de Lisbonne, puis une autre (c’est Victor Hugo à la fondation Gulbenkian, ça)
(D. et l’ami libraire, chacun de son côté qu’on se rassure, vont à Lisbonne ces jours-ci, ces salopards) pour ma part je continue (trouvé le plan de Venise dans une officine qui s’épand comme le vieux campeur du côté de la bn ancienne mouture)
le truc bleu et blanc qui sert à accrocher bateaux/gondole/embarcation quelconque se nomme une paline (je me souviens que ce mot avait été indiqué, il y a peut-être dix ans, par Ruelles)
J’asq.36 le film « Le salaire de la peur » (qui sort quelque part en copie restaurée etc.etc.)(H.G Clouzot (comme Welles) 1953) a été tourné, pour une part, non loin des ruines du camp de Saliers de mémoire sinistre et pétainiste abjecte (le camp a été rasé ensuite) (on a posé non loin, sur le bord de la départementale 37, ou 34, ce monument pour ne pas oublier, en hommage commémoratif aux vingt six Tziganes morts lors de leur internement dans ce camp de concentration made in France (lu ça dans un article « protégé » – on comprend les journaux : ici, sur internet, on peut venir consulter n’importe comment n’importe quel blog, tu vois, mais pour les journaux -le modèle économique, voilà – tu payes 2 euros : est-ce que ça vaut la peine de se faire braire ? quel monde de merde, jt’assure parfois) (je gagne en misanthropie de jour en jour)
photo signée wtf gsv
Bon dimanche (comme dirait le notulographe dont la notule n’est pas servie demain)
« Le Salaire de la peur »… oui, un film dont on voit trop maintenant l’aspect « décors » (même si certains, la route le long d’une rive du Gard, où mène une randonnée, sont naturels…).
Sincèrement, je préfère cent fois « Duel » de Spielberg ! 🙂
@Dominique Hasselmann : « Duel » est de 1971, aussi, faut voir tout ce qui est passé comme cinéma sous les ponts entre-temps… L’intrigue du salaire de la peur vaut bien autant sinon cent fois celle de Duel… (c’est juste pour polémiquer tu sais bien) Merci du passage…
une petite voix dit j’aime les deux (même si les ai vus il y a très longtemps et pour le salaire c’était je ne sais plus où, pas dans une salle normale)