3-04 trente quatre an II
hier soir (après avoit toute la journée réussi à terminer ce travail qui me nourrit) allant écouter à République le concert du premier anniversaire de Nuit Debout – je ne suis pas resté, il y avait là plus de flicaille
que de musiciens (on y joue « el pueblo unido jamas sera vincido » une chanson magnifique – Quilapayùn, quand tu nous tiens… – mais tellement loin de ce monde où une jeune femme toute de noir vêtue fait des gestes de danse si consciente de sa grâce) (le frisson l’échine les pleurs oui…), je suis allé voir de ci de là puis suis rentré (dans toutes les avenues boulevards rues qui mènent à la place des cars de flicailles – et dire que mes -nos-vos- impôts servent à ça) (entre autres, certes) (une sorte dégoût me fit abuser du prosecco je reconnais -il était très bon d’ailleurs – j’en paye ce matin le prix avec ce casque lourd qui pèse sur mes méninges) il y a eu au ciel des aéronefs (il y en a toujours sauf cas de volcan majeur)
j’ai admiré le couloir, la si jolie présentation de ce tableau magnifique
dégusté avec les ami-e-s des trofie au pesto maison -ah Gênes…!! -, du tiramisu aux fruits rouges, la chaleureuse amitié de ces jeunes gens (encore merci), puis m’en suis allé dormir.
J’asq 21. Freddie Mercury ce magnifique chanteur de Queen ce groupe exceptionnel de la fin du siècle dernier, cette merveille du monde, ce type à la voix d’or ou qu’en sait-on en tout cas, j’aime savoir que ses parents étaient de confession zoroastre (parsi) même si la religion est une habitude qui me semble pour l’humanité tangentielle à l’indignité et à l’esclavage. Ici une image de lui prise dans une sorte d’agenda ou d’almanach regroupant de nombreux artefacts évoquant le groupe Reine (et comme on sait mon amour pour sa très gracieuse majesté, c’est à E2 que je dédie cette image magnifique -quelque chose aussi de la merveilleuse Joséphine Baker – avec mes compliments)
somme toute, les humains sont souvent beaux et bons
@brigetoun : oui, voilà, somme toute (mais pas que)
Mercury, aussi le nom d’une « belle Américaine » (donc c’est l’époque Andy Warhol, si j’en crois la dernière photo…).
@Dominique Hasselmann : je crois qu’il a emprunté ce patronyme à la maison de disques qui édita les premiers albums du groupe, le Freddie… (dans les années 70, après Andy)