Six trois cent soixante et onze
No J’asq. Hôtels Modiano pratiquement terminé (5 et 3bis). Publication ici du texte illustré « escalier » atelier d’hiver
des journées comme on ne les aime pas trop – il paraît qu’il faut bien gagner sa vie – la cave (visite de personnes « on vient juste regarder », la vague idée que les choses vont changer et donc qu’on n’en parle pas) (pour ce que j’en ai à faire, mais cette façon de procéder…) dehors la pluie – je ne la vois pas – et des chiffres dans des cases
les petites annonces de Belleville, il y a 7 ans
j(e n’)’attends (pas) les paiements, je fais des chèques, je remplis des formulaires et j’essaye de m’en sortir – je fatigue vraiment avec le reste du monde, j’en ai ma claque des ambiances électorales ou de post deuil, le monde, cet égout malodorant mené par des élus abjectes (Turquie, Philippines, Russie, Etats unis d’Amérique…) et ici bientôt dans le même ordre des choses, semble-t-il, ces types à l’ego surdimensionné qui se maintiennent coûte que coûte, quelle nausée – il reste la ville s’il y faisait beau…
Saint-Eustache en coupant la Défense et la choucroute (au fond, un peu à droite, l’opéra Garnier) (c)2010
et celle-ci, d’automne, qui reste, qui reste sur le bureau
boulevard de la Villlette
je me remets à la série « Sur le bureau » dès que possible (fin de semaine je suppose)
La photo où manque « la choucroute » sans doute communarde est prise depuis le dernier étage du Centre Pompidou, non ?
@Dominique Hasselmann : Toutaf Olaf…