Dix sept trois cent quatre vingt un
il y a des jours où on a de la chance, je passais dans cette petite rue (j’allais à nouveau chez Gibert acheter une histoire de Venise – trouvée celle de Alvise Zorzi, chouette) et voilà que je tombe sur cet éclairage et cette affiche (la merveille, ce film)
(« Elle et lui », Léo Mac Carey, 1957 remake de son propre « Elle et lui » de 1936, qu’est-ce qu’on a pu pleurer en le voyant , ce film) (il (Cary Grant) a rendez-vous avec elle (Deborah Kerr, punaize !), six mois après leur coup de foudre, en haut de l’Empire State Building, mais elle ne viendra pas, elle a eu un accident…) (c’est donné au Racine : le mélodrame qui parvient à la hauteur de ceux de Douglas Sirk…) puis allant déjeuner avec mon pote (foie de veau, chardonnay)
et revenant, lisant, marchant, pensant (la santé, quels emmerdements jte jure – pas la mienne, la sienne)
et allant par la rue, cet arbre blanc (merci pour le jaune, Employée)
que j’avais croisé le matin même, bien mieux éclairé… Deux ou trois jours à la campagne, je n’y suis plus pour personne… vive le printemps… à lundi sans doute.
J’asq 16. cette histoire des 47 ronins, ces samouraïs qui se firent hara kiri l’un après l’autre, après avoir vengé la mort de leur maître/chef/ce qu’on voudra en tuant un autre samouraï, un autre chef responsable de cette mort-là – c’est une belle histoire, honneur dignité loyauté, tout le toutim…
ça l’affiche bien…
Bonne campagne (change de l’électorale) !
@Dominique Hasselamnn : ahahah…!! (il faisait un temps disons mitigé vois-tu mais ça repose quand même…)