Cinq trois cent soixante dix

(finissant « Naissance d’une ville » (Sergio Bettini, L’éclat/poche, 2016/2006 3° édition, 1° édition Milan 1976) (dire que jamais je ne suis allé à Milan) (je ne suis pas certain de manquer la cathédrale, c’est certain, mais les téléphones blancs et tout ce bazar-là j’y pensai en passant à Turin) (c’est comme pour Porto, enfin je m’égare), je vais commencer « Les pierres de Venise » (John Ruskin, Hermann sans date dépôt légal sans isbn sans achevé d’imprimé rien…bizarre, un code barre quand même et 25 euros aussi, merci bien) puis je m’attellerai à une histoire de Venise (sans doute celle de Alvise Zorzi je suppose) (et le que sais-je idoine sans doute aussi)

En revenant du cinéma (« Fukushima mon amour« , « Grüsse aus Fukushima », Doris Dörrie, 2016 assez sympathique mais tragique mais sympathique quand même) la gare la nuit, le monde l’alcool et le parfum (ça c’est Paris le samedi soir) (j’ai ma saisie à finir, certes) (je m’emmêle les doigts avec cet audacity et ne parviens pas à faire ce qu’il faut – sans compter cette administration qui me tord les nerfs)

(joli cabriolet qui sert à faire des cabrioles j’imagine croisé dans la rue) J’asq 12. la commissaire européenne à l’action pour le climat (collège 2010-2014 président José Manuel Durao Barroso – tranquillement installé chez Goldman Sachs, ça va bien, merci pour lui) a réussi sa reconversion au sein d’un groupe de flux de gaz réfrigérants (5 milliards d’euros de chiffre d’affaire, 25 mille salariés) danois, et (bénévolement, quelle abnégation) siège (entre autres) au comité de développement durable du constructeur de voitures allemand Volkswagen, lequel a été convaincu de fraude sur ses logiciels embarqués mesurant les rejets des moteurs diesel (ces temps-ci, je ne sais si c’est un effet des personnes que je côtoie, ou une réalité du monde et de sa mode linguistique, l’expression « comment dire… » fait florès) : comment dire…