Sept deux 343

(on continuera jusqu’à ce qu’elle tombe, cette loi – ni loi, ni travail punaize) (entendu l’autre s’excuser : je ne sais pas pour qui il se prend et encore moins pour qui il nous prend, mais ses excuses, il peut bien se les coller, hein, excuse-moi d’être trivial)(quand à la représentante de la gent féminine – il s’agit de ce pays et la seule femme à prétendre à la magistrature suprême (c’est beau, ça), c’est cette – on n’en parle même pas tellement c’est avilissant) (ce qui l’est tout autant, c’est le sort du jeune Théo d’Aulnay-sous-bois et je crois que cette parenthèse a beaucoup à voir avec la précédente, vu les propos racistes dont il a été affublés par ces tristes individus) (on espère en un réveil, un sursaut, que les électeurs aillent aux urnes, c’est ce qu’on peut souhaiter : voir Bucarest, si nécessaire)

je suis allé prendre un café (image de l’aller) avec le frangin qui m’a accueilli avec un « j’ai un article dans Marie-Claire, enfin une petite colonne » ravi (quant à moi, je déprime grââââve mais comme ça ne fait qu’un an et quart que ça dure)

(image du retour) (j’en ai fait sept dans chaque sens)

Au cinéma, « Jackie » (Pablo Larrain, 2016) Natalie Portman est de tous les plans – bah – (toujours cru qu’elle (Jackie, pas Natalie) était française) (j’avais cinq mois à son mariage avec son coureur de JFK)