Vingt et un trois cent vingt sept
allant hier chercher le courrier, mes pas m’ont porté jusqu’à l’étage et voilà
dans le temps c’était la place du bureau (j’ai pas mieux pour l’époque
et là le couloir aux chambres/bibliothèques etc
pris du canapé) (on remarque la parfaite homogénéité des couleurs) (pour le point on repassera) et là, point de vue de plus haut
heureusement que je sais qu’il s’agit du même lieu endroit couloir (la teinte rouge qu’on perçoit ici ou là est due à la peinture posée sur un des murs du salon) j’en suis reparti avec mon tiers (provisionnel des impôts) dans le froid tenté de réaliser quelque chose sans y parvenir, marchant dans les rues sans trop de but, en tête ces objets tous enfuis, n’importe certes, sur mon dos le sac de ma fille (elle m’en a offert un autre à Noël mais qu’y puis-je, je ne parviens pas à me séparer de l’ancien) (entendu mon frère au téléphone qui fait une signature à la vingt cinquième heure, qui fait partie de telle sélection, telle autre, repris l’entretien avec Fred, travailler c’est encore ce qu’il reste à faire, mais sans être payé, est-ce vraiment du travail ?)
peut-être mais sans la note torturante (ou presque) venant de l’étymologie
une façon de se croire libre (ai connu mais pour une partie de mon temps)
Sur un iMac de cette taille, ça doit être bien, les photos agrandies…
Le principal est d’avoir retrouvé tes marques (géographiques) !
@brigetoun : bah quelle illusion, non ? Enfin…
@Dominique Hasselmann : j’ai réduit l voilure, et je suis sur un PC (j’agonis w10) et nostalgie vraiment… Enfin…