Six trois cent sept
(saisie) (essayer le thème de l’atelier d’hiver, y parvenir mais avoir manqué la photographie – coupée mauvais champ) (d’ailleurs ici il y en aura deux) je suis allé récupérer les clés et signer l’état des lieux (je me demande si je ne suis pas en train de me fourvoyer gravement) (au courrier une lettre du greffe du tribunal de commerce m’enjoignant à/de (?) fournir la comptabilité de 2015 – une autre du cabinet comptable deux mille euros merci bien pour le dépôt légal des pièces – amende 45 euros : je m’en vais arrêter cette mascarade) (demandé de l’aide au centre des impôts : on ne répond pas – merveille du monde) (il paraît qu’on trouve en prison des personnes de mon type – de ma CSP – catégorie socio-professionnelle – qui n’ont pas répondu aux autorités ni fourni les papiers demandés) ici quelque part du côté de la gare de l’est je crois
(encore mal cadré) en descendant la rue de Belleville
(les cinq derniers étages du plus bel immeuble du monde – qui fait le coin de cette rue dont j’oublie le nom – sont devant la tour, toujours) sur le trottoir d’en face, le libraire tient la main de sa progéniture, revient de l’école probablement, dans sa librairie point de livre du frangin – j’avais l’intention de l’acheter
– mais je l’ai trouvé à l’atelier, autre librairie du quartier, mais plus haut sur la montagne – un peu trop hype à mon goût cependant – et le quartier et a librairie because l’un ne va sans doute pas sans l’autre – descendre vers le métro, le prendre ensuite pour aller
au séminaire, où on s’entretiendra de cette image, de ces images d’assassinat
(aucune cause ne mérite la mort d’une personne, aucune, jamais) puis revenir, et sentir le sang se glacer dans la promiscuité du métro (quelques courses, retour, et à présent insomnie) (les comptes me tapent sur le système, c’est à n’en pas douter – sur la peau, des ronds rouges (au soleil, ils ont disparu), depuis des mois, des années sans doute, sous le bras droit, l’avant bras gauche, la cuisse droite – deux- sur le mollet droit :vaguement le sentiment d’être l’hôte de quelque chose…) (je lis « Requin » Bertrand Belin, le chanteur, oui, qui me fait souvenir de Peggy en téléchargement gratuit)
Oublié : en dvd « The visitor » (Thomas McCarthy, 2007)
J’ai entendu l’autre jour à la radio ce Bertrand Belin qui imite un peu trop Bashung…
Librairie(s) : dommage que la nouvelle (succursale des « Guetteurs de vent » de l’avenue Parmentier), ouverte au carrefour de la rue Bichat et de celle du Faubourg-du-Temple, porte un nom aussi quelconque : « Librairie Les Nouveautés »…
A Dominique et Piero : elle est comment, cette nouvelle librairie, alors ? Passée devant en 75, c’est tout.
A Piero : tu réintègres la rue du magicien, finalement ? (pas sûre d’avoir tout suivi). Courage pour les insomnies et tutti…
@Dominique Hasselmann : (pour BB je ne vois pas trop la ressemblance avec le Bashung, mais c’est sans doute un honneur pour lui) (pour BB pas Bashung qu’on aime toujours) (comme BB là écoute ça stu veux)
@Anne Savelli : pour the magician house, c’est yes; pour la librairie, j’ai pas encore vu…