Sept trois cent huit
(il est temps de rétablir la vérité : nous sommes aujourd’hui le 313 mars) (y’en a 5 qui se sont tirés, en vacances probablement) (en tout cas, je saisis) (et je comptabilise – avec les obligations légales wtf ? les assemblées générales et les procès verbaux) (tout ça ne m’appartient pas, je m’en vais te balancer l’entièreté du truc : mais ça ne se fait pas comme ça) (je vais mettre une image de janvier 2008 histoire de rigoler)
on remarquera que déjà alors je ne faisais pas le point – enfin pas là où il devrait être, je suppose – mais que je lisais – pfff quel livre magnifique – et que j’éclusais aussi du kir) (comme le type, là, dernièrement – 3-4-5 304-305-306) (bien du mal à identifier le bar) (le froid j’aime ça, mais seulement pendant quarante huit heures)
Au cinéma « Neruda » (2016, Pablo Larrain) (y’a un accent sur le i du patronyme du réal) (c’est chilien : le film est maniéré -voix off à faire braire et lumières aveuglantes pour signifier certainement la fiction – (OSEF comme dirait ma fille) (FO comme je dirais) mais enfin le Chili, moi, je l’aime – un peu comme le Portugal – Pablo Neruda est dépeint comme un drôle de type – ce qui n’étonne pas – et on suit, par ailleurs, les développements de sa façon – est-ce bien la sienne, je ne suis pas sûr – de mourir) (on voit une apparition, dans ce film, de la réincarnation de l’ordure videla et de celle de pinochet qui ne l’est pas moins) (ordure oui, voilà) (je glisse une image de lui – est-ce bien lui ou n’est-ce que son image ? – piquée quelque part, peut-être à wiki)
Il faudrait préciser que la dernière photo n’est pas celle de Pinochet ni de Videla… 🙂
merci, on le voit (pas certaine non plus que soit la bonne, mais ça y ressemble fortement je pense)
@Dominique Hasselmann : tu fais quand même la différence, non ? :°) merci du passage…
@brigetoun : il pourrait sans doute être plus à son avantage… merci de vos commentaires