Pendant le weekend

Dix trois cent seize

 

 

entré dans un immeuble d’un boulevard des beaux quartiers (c’est dans le 8) (kompta – merci beaucoup – mais quant à moi je ne suis toujours pas payé – merci encore)  mais planté – celui où je dois aller est exactement le même au sapin et aux boules rouges près – cette originalité dans la décoration

je sortais de ce métro-là

et quand j’en ai eu fini de mon rendez-vous je suis tombé sur une vitrine avec ce papier à lettres-là (illustration de la grandeur – et de la vulgarité – des objets dérivés de cette maison) (passons)

(j’ai manqué de culot pour aller demander le tarif de ce genre de « banalité ») quelque chose de notre contemporain, passé à la nouvelle librairie (acheté « La mort de Brune » (Pierre Bergounioux, folio 3012, 1996, 6.5e) où j’ai pris cette photo (le bouquin du frangin)

puis un autre rendez-vous pour L’aiR Nu cette fois , passé par le passage du Prado comblé de coiffeurs, rue du Faubourg Saint-Denis, quartier magnifique, et croisé cet homme dans cette posture contemporaine

(noter le pli entre les deux sourcils, nommé « barre d’excel »)

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3 Comments

    « La mort de Brune » de Bergounioux : une merveille vous verrez

  • vive la barre d’excel en point final

  • @L’employée aux écritures :je vais voir (c’est pour l’atelier d’écriture d’hiver; savez-vous Employée ?) merci du commentaire en tout cas
    @brigetoun : ce logiciel-là, quelle misère… merci du commentaire