31 Trois cent trente sept
Je regarde parfois ceci, et moi, pour ma part, parfois je marche dans les rues (le fait de voir des images animées sur la droite, en bas du cadre, sponsorisées comme on dit, me donne la nausée : comment dire ? on ne vit pas de rien, c’est certain, mais se vend-on ? ) et j’ai croisé les cinq des sept de la 5ème sur la couverture du torchon ( si ça se trouve le huitième entamera la 6ème, c’est au moins ce qu’on espère) (dans ce temps-là, on n’y flanquait pas les épouses-femmes au foyer-attachées parlementaires-fille de chocolatier : quelque chose ici qui est dans mon souvenir, cette Providence, ces macarons, cette distance à peine entrevue encore sur l’époque qui sépare mes sept ans de mes vingt)
(vitrine d’une librairie de la rue des Pyrénées) je suis allé voir TNPPI qui a fait « aïe » quand je lui ai pris la main puis, avec la caresse suivante, m’a souri (sans doute était-ce à moi)
(cent une piges dans quelques jours) (et après ça, va comprendre si ça m’empêche de dormir – regardé redif de l’émission sur méluche du miller – il y avait un Enthoven devant la caméra et une Coralie derrière) trouvé ça sur la petite table de la chambre
un objet ayant appartenu à mes parents qui fait le sujet d’une occurrence d’atelier (il faut aller au #3 si on veut en entendre parler)
La « une » du « Canard enchaîné » de ce matin est déjà connue (leur site Internet ne va pas plus loin), cela rassure de voir l’impact produit par une presse indépendante lorsqu’elle enquête à fond(s) – ne pas oublier non plus Mediapart et même, jeudi prochain, France 2 !