Quinze seize douze deux cent quatre vingt sept huit
(saisie quand tu nous tiens, j’ai pas de temps) (été voir quand même « Manchester by the sea » (Kenneth Lonergan, 2016) les héros s’appellent les Chandler – c’est un mélodrame comme on peut aimer) (Affleck le jeune n’en fait pas trop, le rôle est lourd, le film est bien)
je pose des images des sols de la maison d’Eubée, ça rappelle quelques souvenirs, je finis les carnets de voyage de ce voyage -c’est long, l’histoire, et ça fait un peu de bien de revoir ces lieux
je veux bien travailler, en même temps mais je préférerai être rétribué pour
mais non, on attend mais on doit payer la CFE (cotisation – je crois – foncière des entreprises) (raide comme un stick moi)
on marche pieds nus, souvent , le matin on va faire un café, il fait doux et bientôt très chaud, tout le monde dort il est six heures
(ici le bloque-porte de la salle de bains) j’aime tant me lever tôt le matin en été, je me souviens de la Tunisie, de ces hommes qui allaient se baigner à cinq et demi six, seul en casquette, je me souviens, tant pis, c’est la nuit d’hiver
(ici, il s’agit de la maison de nuit du coin qu’on a changée en une sorte de résidence merdique étriquée prétentieuse : n’importe)
la vie des sols de faïence ou de pierre ou marbre sous les bandes de lumière.. merci d’offrir ça à mes pieds recroquevillés tout à l’heure sur la terre cuite gelée par la nuit d’hiver
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