Vingt et un deux cent soixante cinq
(difficultés à écrire) passé par un endroit où on pouvait cadrer ça (trois bancs rouges, deux poubelles transparentes, deux humains qui se hâtent parce qu’il pleut) boulot travail turbin taff chagrin j’en passe et des pires (relu à ce sujet le « Pendant la semaine » écrit voilà près de cinq ans au moment de la disparition de melico, car la reprise est imminente dans une rubrique « la petite fabrique du livre » sur l’AiR Nu) (lire probablement le texte autobiographique d’Asli Erdogan pour la page en train de se construire – merci pour vos participations)
le soir précédent une discussion sur la légitimité d’aller se prononcer sur l’idiot du village : j’ai dit non, merci (deux euros en plus, non mais eh …). Il ne faisait pas si moche finalement, un sandwich à la rosette plus tard
on n’imagine pas la tristesse de ces lumières qui faiblissent et changent de ton suivant un programme cadré au centième de seconde. Un verre de vin, rencontre sympathique au Cannibale -le kir se négocie à table à 4e- avec les autres auteurs du livre qui bientôt sortira (l’atelier d’été 9). On verra on en reparlera, on ira s’en procurer un exemplaire.
Un verre de « vine » (avant disparition ou migration chez un acheteur), toujours bon à prendre quand on peut !
aurais été curieuse de voir les visages et d’entendre les voix des participants (et aurais été intenable par timidité)
@brigetoun : je vous envoie le lien vers wetransfer…
@Dominique Hasselmann : je pensais t’y voir mais tu avais d’autres choses à faire, m’a-t-on dit…